Summary

l’orateur dit que, errant comme un nuage flottant au-dessus des collines et des vallées, il a rencontré un champ de jonquilles à côté d’un lac. Les fleurs dansantes et flottantes s’étendaient sans fin le long du rivage,et bien que les vagues du lac dansaient à côté des fleurs, les jonquilles dépassaient l’eau dans la joie. L’orateur dit qu’apoet ne pouvait s’empêcher d’être heureux dans une si joyeuse compagnie de fleurs.Il dit qu’il regardait et regardait, mais ne réalisait pas quelle richela scène lui apporterait., Pour l’instant, chaque fois qu’il se sent « vacant” ou »pensif”, la mémoire clignote sur « cet œil intérieur / qui est le souffle de la solitude”, et son cœur se remplit de plaisir », et danse avec les jonquilles. »

Form

Les quatre strophes de six lignes de ce poème suivent un schéma quatrain-coupletrhyme: ABABCC. Chaque ligne est mesurée en tétramètre iambique.

commentaire

Ce poème simple, l’un des plus beaux et des plus célèbres du canon Wordsworth, revisite les sujets familiers de la nature et de la mémoire, cette fois avec une éloquence musicale particulièrement (simple)., L’intrigue est extrêmement simple, dépeignant l’errance du poèteet sa découverte d’un champ de jonquilles au bord d’un lac, dont la mémoirequi lui plaît et le réconforte quand il est seul, ennuyé ou agité. La caractérisation de l’apparition soudaine de l’amémoire—les jonquilles « clignotent sur l’œil intérieur / qui est le bonheur de la solitude”—est psychologiquement aiguë, mais la principale brillance du poème réside dans la personnification inverse de ses premières strophes. Le locuteur est métaphoriquement comparé à un objet naturel, un nuage— »j’ai vagabondé comme un nuage / qui flotte en haut…, », et les jonquilles sontcontinemment personnifiés en tant qu’êtres humains, dansant et « jetant la tête”dans « une foule, une foule. »Cette technique implique une unité inhérente entre l’homme et la nature, ce qui en fait l’une des méthodes les plus élémentaires et les plus efficaces de Wordsworth pour inculquer au lecteur le sentiment que le poète décrit si souvent lui-même comme éprouvant.