Un Yemoja dévot au Nigéria
Yoruba divination conseil Opon Ifá
Selon Kola Abimbola, les Yorubas ont évolué d’une robuste de la cosmologie. En bref, il soutient que tous les êtres humains possèdent ce qu’on appelle « Ayanmo », qui est considéré comme le destin ou le destin. On s’attend à ce que chaque personne devienne finalement un en esprit avec Olodumare (également connu sous le nom D’Olorun, le créateur divin et la source de toute énergie)., En outre, les pensées et les actions de chaque personne dans Ayé (le Royaume physique) interagissent avec tous les autres êtres vivants, y compris la Terre elle-même.
chaque personne vivant sur terre tente d’atteindre la perfection et de trouver son destin dans Orun-Rere (le royaume spirituel de ceux qui font des choses bonnes et bénéfiques).
la récitation méditative Iwapẹlẹ (ou bien équilibrée) et la vénération sincère suffisent à renforcer l’ori-inu de la plupart des gens., Les personnes bien équilibrées, croit-on, sont capables de faire un usage positif de la forme la plus simple de connexion entre leurs Oris et L’omnipotent Olu-Orun: une adura (pétition ou prière) pour le soutien divin.
la prière à son Ori Orun produit une sensation immédiate de joie. Eshu Elegbara initie le contact avec le royaume spirituel au nom du pétitionnaire, et transmet la prière à Ayé; le libérateur d’ase ou l’étincelle de vie. Il transmet cette prière sans la dénaturer d’aucune façon. Par la suite, le requérant peut se satisfaire d’une réponse personnelle., Dans le cas où il ne l’est pas, L’oracle Ifá de L’Orisha Orunmila peut également être consulté. Toute communication avec Orun, qu’elle soit simpliste sous la forme d’une prière personnelle ou compliquée sous la forme de celle faite par un babalawo initié (prêtre de la divination), cependant, est dynamisée par l’invocation d’ase.
dans le système de croyance Yoruba, Olodumare a ase sur tout ce qui est. Par conséquent, il est considéré comme suprême.
OlodumareEdit
Olodumare est l ‘ « état d’existence »le plus important. Considéré comme englobant, aucun genre ne peut être attribué., Par conséquent, il est courant d’entendre des références à « ça » ou « ils » (bien que cela soit destiné à traiter quelque chose d’une singularité). « Ils « sont le propriétaire de toutes les têtes, car pendant la création humaine, Olodumare a donné » emi » (le souffle de vie) à l’humanité. En cela, Olodumare est suprême.
peut-être l’un des efforts humains les plus importants vantés dans le corpus littéraire Yoruba est la quête d’améliorer son « Iwa » (caractère, comportement)., De cette façon, les enseignements transcendent la doctrine religieuse, conseillant comme ils le font qu’une personne doit également améliorer ses sphères civiques, sociales et intellectuelles de l’être; chaque strophe de la poésie oraculaire sacrée Ifá (Odu Ifa) a une partie couvrant l’importance de « Iwa ». Le thème de la justice, à la fois individuelle et collective, est au centre de cette question.
Créationmodifier
les Yorubas en tant que peuple considèrent Olodumare comme le principal agent de la création.,
selon L’un des récits Yoruba de la création, à un certain stade du processus, la « vérité » a été envoyée pour confirmer l’habitabilité des planètes nouvellement formées. La terre, étant l’une d’entre elles, a été visitée mais considérée comme trop humide pour la vie conventionnelle.
Après une période de temps réussie, un certain nombre de divinités dirigées par Obatala ont été envoyées pour accomplir la tâche d’aider la terre à développer sa croûte., Lors d’une de leurs visites au Royaume, L’archiduchesse Obatala monta sur scène équipé d’un mollusque qui dissimulait une forme de terre; des bêtes ailées et un tissu semblable à du matériel. Le contenu a été vidé sur ce qui est bientôt devenu un grand monticule à la surface de l’eau et peu de temps après, les bêtes ailées ont commencé à le disperser jusqu’au point où il s’est progressivement transformé en une grande parcelle de terre sèche; les différentes indentations qu’ils ont créées devenant finalement des collines et des vallées.
Obatala sauta sur une hauteur et nomma L’endroit Ife., La Terre est devenue fertile et la vie végétale a commencé à prospérer. De poignées de terre, il a commencé à mouler des figurines. Pendant ce temps, alors que cela se passait sur terre, Olodumare rassembla les gaz des confins de l’espace et déclencha une explosion qui se transforma en boule de feu. Il l’a ensuite envoyé à Ife, où il a séché une grande partie de la terre et a simultanément commencé à cuire les figurines immobiles. C’est à ce moment-là Qu’Olodumare a libéré le « souffle de vie » pour souffler à travers la terre, et les figurines sont lentement entrées en « être » en tant que premier peuple D’Ife.,
pour cette raison, Ife est localement appelé « Ife Oodaye » – « berceau de l’existence ».
OrishaEdit
Un Orisha (autrement orthographié Òrìṣà) est une entité qui possède la capacité de refléter certaines des manifestations D’Olodumare. Les Orishas Yoruba (communément traduit par « têtes uniques / spéciales / sélectionnées ») sont souvent décrits comme des intermédiaires entre l’humanité et le surnaturel. Le terme est également traduit par « divinités », « divinités »ou » dieux ».
Orisha(s) sont vénérés pour avoir le contrôle sur des éléments spécifiques de la nature., Ils sont aussi appelés Imole. Il y a ceux de leur nombre qui s’apparentent plus à des héros et/ou des sages antiques qu’à des divinités primordiales. Ceux-ci sont mieux traités comme des divinités dema. Bien que le terme Orisha soit souvent utilisé pour décrire les deux classes d’entités divines, il est à juste titre réservé à la première.,
| Orishas | attributs |
|---|---|
| Orunmila / Ọrúnmìlà | le grand prêtre Yoruba et gardien de l’Oracle IFA, source de connaissances qui est censé superviser la connaissance de la forme humaine, la pureté, les remèdes des maladies et des déformations. Les Babalawos sont les subordonnés D’Orumila en tant que prêtres et disciples. |
| Eshu/Èṣù | souvent mal traduit par « le diable » ou « L’être maléfique », Eshu n’est en vérité ni l’un ni l’autre., Mieux appelé « le filou », il offre une main de malheur à ceux qui n’offrent pas de tribut ou sont considérés comme des novices spirituels. Également considéré comme le « messager divin », un négociateur principal entre les forces négatives et positives dans le corps et un exécutant de la »loi de l’être ». On dit qu’il aide à améliorer le pouvoir dérivé des médicaments à base de plantes et d’autres formes de technologie ésotérique.
Eshu est l’Orisha de hasard et d’imprévisibilité., Parce qu’il est le linguiste D’Olorun et le maître des langues, Eshu est responsable de porter des messages et des sacrifices des humains au dieu du ciel. Également connu pour ses pouvoirs phalliques et ses exploits, Eshu se cacherait aux portes, sur les autoroutes et aux carrefours, où il introduit le hasard et l’accident dans la vie des humains. Il est connu sous une variété de noms, y compris Elegbara. |
| Ogoun / Ògún | Orisha de fer et de la métallurgie. |
| Yemoja / Yemọja | Mère des Eaux, Nourricière des Ressources en Eau., Selon Olorishas, elle est le liquide amniotique dans l’utérus de la femme enceinte, ainsi que les seins qui nourrissent. Elle est considérée comme l’énergie protectrice de la force féminine. |
| Oshun/Ọṣun | seconde épouse de Shango, une fois Oba D’Oyo (un autre Orisha Yoruba, voir ci-dessous), elle serait entrée dans une rivière à Osogbo. Les religieux Yoruba lui attribuaient sensualité, beauté et grâce, symbolisant à la fois la recherche de clarté et le mouvement fluide de leur peuple., Elle est associée à plusieurs pouvoirs, y compris la capacité de guérir avec de l’eau fraîche, l’induction de la fertilité et le contrôle de l’essence féminine. Les femmes font appel à elle pour la procréation et pour le soulagement des troubles féminins. Les traditions Yoruba la décrivent comme étant friande de bébés et son intervention est recherchée si un bébé tombe malade. Oshun est également connue pour son amour du miel. |
| Shango/Ṣàngó | associé à la virilité, à la masculinité, au feu, à la foudre, aux pierres, aux guerriers Oyo et au magnétisme., On dit qu’il a les capacités de transformer les substances de base en celles qui sont pures et précieuses. Il était L’Oba D’Oyo à un moment donné de son histoire. Il tire son surnom D’Oba Koso des récits de son immortalité. Shango est L’Orisha du thunderbolt, qui aurait régné dans les temps anciens sur le Royaume D’Oyo. Aussi connu comme Jakuta (lanceur de Pierre) et comme Oba Koso (le roi ne pend pas). |
| Oya/Ọya | troisième épouse de L’Ancien Oba D’Oyo appelé Shango (un autre Orisha Yoruba, voir ci-dessus), elle serait entrée dans le fleuve Niger., Elle est souvent décrite comme la tempête, gardienne du cimetière, des vents de changement, des tempêtes et de la Progression. En raison de son pouvoir personnel, elle est généralement dépeint comme étant en compagnie de son mari Shango. Elle est L’Orisha de la Renaissance. |
Irunmllẹedit
Irunmọl are sont des entités envoyées par Olorun pour accomplir des tâches données, agissant souvent comme des liaisons entre Orun (le royaume invisible) et Aiye (le Royaume physique). Irunmole(s) peut mieux être décrit comme divinités de classement; où ces divinités sont considérées comme les principaux Orishas., Irunmole, de « Erinrun » – 400, « Imole » – Divinites ou esprits divins
Réincarnationmodifier
un vêtement de danse de mascarade Egungun dans la collection permanente du Children’s Museum d’Indianapolis
Les Yoruba croient en Atunwa, réincarnation au sein de la famille., Les noms Babatunde (père revient), Yetunde (mère revient), Babatunji (père se réveille une fois de plus) et Sotunde (le sage revient) offrent tous une preuve vivante du concept Ifa de renaissance familiale ou linéale. Il n’y a cependant aucune garantie simple que votre grand-père ou grand-oncle « reviendra » à la naissance de votre enfant.,
chaque fois que le temps arrive pour un esprit de revenir sur Terre (autrement connu sous le nom de marché) à travers la conception d’une nouvelle vie dans la lignée directe de la famille, l’une des entités constitutives de l’être d’une personne revient, tandis que l’autre reste au ciel (Ikole Orun). L’esprit qui revient le fait sous la forme d’un Ori gardien. L’Ori gardien, qui est représenté et contenu dans la couronne de la tête, représente non seulement l’esprit et l’énergie de son parent de sang précédent, mais la sagesse accumulée qu’il a acquise au cours d’une myriade de vies., Cela ne doit pas être confondu avec L’Ori spirituel, qui contient le destin personnel, mais fait plutôt référence au retour sur le marché de son Ori de sang personnel à travers sa nouvelle vie et ses nouvelles expériences. L’ancêtre primaire (qui doit être identifié dans votre Itefa) devient – si vous êtes conscient et travaillez avec cette énergie spécifique – un « guide” pour l’individu tout au long de sa vie. À la fin de cette vie, ils retournent à leur esprit identique et fusionnent en un seul, en prenant les connaissances supplémentaires acquises de leur expérience avec l’individu comme une forme de paiement.
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