dans la mythologie grecque Narcisse, le fils mortel de Dieux, est tombé amoureux de sa beauté et s’est noyé en regardant son propre reflet dans une mare d’eau.

Narcisse était le frai des Dieux, mais il n’était pas, en fait, un Dieu. Il était imparfait, il pouvait mourir.

Notre amour pour le concept de possession de complexité affective est indiscernable de Narcisse et son amour pour sa propre beauté.Comme Narcisse, nous nous noyons dans notre propre beauté unique perçue., Mais là où L’obsession de Narcisse est physique, la nôtre est émotionnelle et sociale.

Nous insistons sur la diffusion au monde que nous sommes un panthéon unique d’émotions, mais en réalité, nous pouvons être décomposés en une combinaison des trois émotions de base suivantes.

le premier est le bonheur.

notre bonheur est ce que nous espérons que les gens verront le plus de nous, afin qu’ils puissent vivre par procuration à travers nous et vice versa. Nous sommes fascinés par la création d’un sanctuaire social pour le soi afin que les autres puissent adorer, commenter et partager votre joie.

La seconde est la Tristesse.,

nous ne nous dépeignons jamais extérieurement comme tristes pour le bien de la tristesse. Nous le faisons pour que ceux qui nous entourent en soient témoins comme un poste d’autodestruction. Nous espérons que notre liste d’amis des êtres chers mange notre tristesse afin que nous souffrions ensemble et non seuls. Comme le bonheur, nous avons besoin de quelqu’un à la fois témoin et partager notre tristesse pour qu’elle se sente validée.

la troisième est la colère.

Les émotions de colère sont propulsées pour la protection des autres émotions., Quand quelqu’un menace de troller sur notre bonheur ou de ne pas aimer notre tristesse, la colère est la réaction qui protège la justification de nos émotions.

notre instinct auto-destructeur est celui de Narcisse, c’est notre nature de nous noyer dans notre propre beauté en l’élargissant pour être plus grande que sa simplicité réelle dans les forums sociaux. La vraie beauté vient de défier cet instinct. N’est-ce pas lecteur?